Foire Aux Questions

Communiquez avec nous afin qu’un technologue se rende sur place pour valider si l’espace du terrain est adéquat et pour vérifier la perméabilité du sol afin de voir quel système conviendrait le mieux et à quel coût.

Non, un champ septique doit d’abord être adéquatement positionné afin de respecter les marges de recul des résidences, lacs, fossés, bandes de protection riveraine, puits, etc. Ensuite, il faut sonder le terrain afin de savoir si une couche limitante est présente et si elle permet l’installation d’un système (ex. nappe phréatique, roc, argile, etc.).

Non, bien entretenu et lorsqu’implanté dans de bonnes conditions de sol, il peut durer plusieurs années. Cependant, une inspection périodique et une vidange régulière de la fosse doivent être effectuées. Il est important de respecter toutes les recommandations, autant pour l’entretien extérieur du système (entretien gazonné, éviter la compaction, etc.), que pour ce qui est disposé dans la fosse septique (éviter les acides, les rejets de traitement d’eau, les huiles, etc).

Non, que ce soit un puits de surface, artésien ou géothermique, le puits doit respecter les distances et marge de reculs mentionnés au Q2-R.35 “Règlement sur le prélèvement des eaux et leur protection”.

Une fois la caractérisation du terrain faite et l’étude du sol complétée, nous produisons les plans et devis techniques pour l’obtention du permis de construction avec la municipalité, soit généralement, un devis technique, des plans et des coupes de l’installation septique, du puits ainsi que les résultats de l’analyse granulométrique du sol effectuée par un laboratoire accrédité.

Oui, en autant qu’il possède toutes les accréditations reliées au système à installer. Nous avons de bonnes relations d'affaires avec plusieurs entrepreneurs et nous pouvons vous donner des recommandations.

Nous produisons une attestation de conformité ainsi qu’un plan tel que construit de l’emplacement des éléments que vous devez remettre à votre municipalité pour fermer votre dossier de demande de permis.

Non, seul un professionnel en la matière membre de l’Ordre professionnel des technologues du Québec ou de l’Ordre des ingénieurs du Québec peut déterminer le type de système à implanter sur un terrain.

Le Professionnel se doit de respecter la hiérarchie des éléments épurateurs allant du système primaire au secondaire avancé ou tertiaire. Cependant, les systèmes dit secondaires avancés ou tertiaires prennent parfois moins d’espace et limitent l’empreinte au sol. 

Une discussion est donc nécessaire afin de bien évaluer les besoins du client. En tant que consultant, il est de notre devoir de donner le maximum d’informations sur les différents systèmes afin que ces derniers puissent prendre les meilleures décisions et choisir ce qui leur convient le mieux en respectant toute la réglementation.